C’est l’angle de la lame par rapport au met en préparation. Un geste qui nous semble banal mais qui, au Japon, participe de ce souci du détail qui a fait la renommée de l’archipel.
Nous ne parlerons pas des sushis ou sashimis ici, on aura l’ occasion d’y revenir. On identifie toujours la cuisine japonaise à ces deux plats mais en réalité ces produits sont sur-représentés chez nous.
Chanoyu en japonais. Le thé fut importé de Chine au VIIIème siècle et la cérémonie naquit au XIIème. Certains disent qu’elle fut inventée par les samouraïs en quête de paix intérieure, d’autres des moines boudhistes zen comme forme de méditation.
Vu sur Arte le 1er août : le monde de Koyama. Hirohisa Koyama, un des pontes de la cuisine japonaise, décrit ses méthodes. Un mélange de saveurs et de méditation pour arriver à la plénitude des mets délicats qu’il sert dans ses restaurants.