Le couteau japonais Bunka 15 cm est un couteau polyvalent qui se distingue par sa lame courte et son design unique. Il combine la précision du Santoku et l’efficacité du Gyuto, avec une pointe plus agressive K-Tip pour une découpe plus précise. Voici ses principales utilités :
Composition du couteau japonais
Les couteaux japonais Chozaburo Black Nashiji sont des lames brut de forge en acier Shirogami 2 fabriquées à la main. Chaque lame est unique est condensée par un damas sublime sur sa moitié inférieur et une finition Nashiji comme la gamme en porte le nom sur sa moitié supérieure. Lames rares aux propriétés artisanales unique au monde avec ce Nashiji de couleur noir pour un couteau japonais brut de forge exceptionnel.
Son manche traditionnel octogonal est en bois de cerisier. Un bois léger qui permet d’équilibrer la lame elle-même très légère par sa qualité d’acier et son haut taux de carbone. Un couteau léger au Japon est un signe de qualité. Le manche est légèrement plus gros que des manches octogonaux classiques pour un meilleur équilibre et une prise en main adaptée.
Ici les matériaux ont été choisis avec soin pour outrepasser les contraintes de l’artisanat et obtenir des couteaux japonais durables et authentiques, fabriqués traditionnellement à la main.
Couper, c’est amusant et délicieux !
Chozaburo se veut être un coutelier qui propose de nouvelles valeurs au travers de ses couteaux japonais. Son mojo « Couper, c’est amusant et délicieux » reflète différents concepts qu’il cherche à appliquer. La notion de « couper » ne se limite pas à la simple action de trancher un aliment ; elle englobe également le plaisir et la délicatesse qui en découlent une fois le couteau japonais en main. Elle reflète également la tradition, la technologie, le savoir et la confiance qu’ils cherchent à incarner dans les mains des cuisiniers du monde entier. Mais elle suggère aussi la création de produits durables auxquels on s’attache tout au long de la vie.
C’est la marque Chozaburo qui le dit « Nous ne sommes pas simplement une entreprise qui vend des couteaux. Nous souhaitons offrir l’émotion ressentie après avoir utilisé nos couteaux : le plaisir et la saveur. »
Ils ajoutent avec sourire « Certaines personnes disent : « Ils sont tellement tranchants que c’est effrayant et dangereux ! » En réalité, c’est le contraire : ce sont les couteaux émoussés qui sont dangereux. Un couteau qui ne coupe pas nécessite une force supplémentaire, ce qui peut entraîner des coupures accidentelles et des blessures. »
Mais qui est Chozaburo ?
Le nom « Chozaburo » provient de Chozaburo Baba, fondateur de la manufacture.
Il était connu pour son caractère obstiné et parlait peu. Il ne vendait que des produits qui le satisfaisaient pleinement, sans compromis. Il proposait une large gamme d’articles. Par ailleurs, il était très économe et avait du mal à jeter des objets. Il utilisait les enveloppes comme blocs-notes et reliait de courtes cordes pour en faire des cordes d’emballage, incarnant ainsi l’esprit du « mottainai » (gaspillage évité) qui a jeté les bases de l’entreprise.
Le concept de « mottainai » est une valeur essentielle. Cette sensibilité est le moteur qui les pousse à créer des produits durables, plutôt que de suivre simplement les tendances éphémères.
« Nous nous efforçons de perpétuer cet esprit en développant des produits de qualité. » – Chozaburo
Entretenir ses couteaux japonais Chozaburo Black Nashiji
Rien de plus simple ! Lavez votre couteau à l’eau et séchez-le avec un chiffon propre et le tour est joué ! Veillez à ce que la lame soit bien sèche une fois laver cela évitera qu’un dépôt d’oxydation se forme sur la lame. Et si ce dépôt apparaît pas d’inquiétude des gommes d’oxydation existent et peuvent être utilisés pour prendre soin de votre lame.
Aiguisez vos lames avec une pierre à aiguiser en céramique de #1000 ou une pierre sèche ne nécessitant pas d’eau de même grain comme la ProYan 2012.
Lecture de Chozaburo :
« Le travail de forge, répété inlassablement avec sincérité, reste le même en toutes saisons — printemps, été, automne, hiver.
Chaque lame a une apparence différente selon la saison, mais son tranchant, lui, reste toujours aussi performant.
Le fer, dur à l’origine, devient malléable sous l’effet de la chaleur, permettant de façonner librement la forme souhaitée et de créer une lame qui répond aux attentes de l’utilisateur.
Résistante à l’ébréchure, durablement tranchante, facile à affûter —
C’est en poursuivant avec rigueur et minutie ces qualités évidentes que nous restons fidèles à la fabrication de Sanjō. »