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Haiku bientôt en lice au Bocuse d ‘Or

Haiku comme choix japonais

Un fournisseur à la croisée des traditions japonaises et d’influences occidentales qui, à voir ce blog, fait régulièrement l’actualité, jalonnant le marché de marques-repères de plus en plus appréciées par les adeptes de belles lames, proposant à la fois des produits high-tech (Kiseki, à découvrir bientôt dans ces pages) et traditionnels carrément “vintage”, guidé par le seul souci de faire du bien aux chefs qui se font si mal dans leur métier. Ce fournisseur, vous l’aurez compris, c’est Chroma et son antenne française. Le concours mondial du Bocuse d’Or qui se tient à Lyon les 27 et 28 janvier prochains est singulièrement en phase car il véhicule des valeurs similaires, l’exigence, le culte de l’amélioration permanente, le pari de l’innovation dans la continuité. Chroma France collabore depuis de nombreuses années avec les équipes nationales de cuisine artistique et cumule plus de podiums que n’importe quel coutelier équipementier. Trois victoires déjà en cinq épreuves seulement et plusieurs places d’honneur.
 
Cette année encore c’est le couteau Haiku qui équipe la France. Vingt ans cette année que Haiku est présent en Occident, dix ans de présence au Bocuse d’Or. Pourquoi Haiku ?

Nous y voyons deux raisons principales :

 
1°) Ce couteau transpire la simplicité dans une fusion de sensation olfactives, visuelles et tactiles (ce dernier aspect primordial dans un concours aussi long), nous l’exposions dans un post précédent concernant son ergonomie : http://blog-couteau-japonais.chroma-france.com/2014/04/lequipe-de-france-est-prete.html
 
2°) Aussi vrai qu’un repas frugal peut être plus savoureux qu’un plat de viande comme ceux que nous verrons à Lyon, ou que peu de meubles dans une pièce confèrent plus de beauté qu’un capharnaüm d’objets de luxe hétéroclites, ce couteau dégage une harmonie zen via sa conception simple allant à l’essentiel.
 

Nicolas Davouze, notre compétiteur national, ne s’y est pas trompé.

 
Faisant de Haiku son favori, et technique et affectif. Pour ces esthètes de la cuisine l’assiette est un petit jardin zen, miroir de leur moi profond. Le pointillisme dont ils doivent faire preuve est aussi important dans l’assiette que dans la découpe des plats à destination du jury. Et pour cela, il faut un outil à leur image, avec lequel ils font corps pendant 5 heures 35 car tout va de pair. Un matériau poli par le temps comme le manche de Haiku, devient un allié inconditionnel de l’artiste. Plus d’info : http://www.saga-bocusedor.com/v2/2015/01/12/mens-sana-in-corpore-sano
La France se présente au concours mardi le 27 janvier. Dernière semaine de réglage, on affûte et s’affûte ! Le concours et ses coulisses sur www.saga-bocusedor.com